Chaque fois que vous déformez la réalité, vous perdez une part de votre puissance, de votre capacité à vivre des relations paisibles et sincères, et de votre attention envers les autres. C’est hyper frustrant, non ?
Déformer la réalité, c’est refuser de se voir tel que l’on est :
😫C’est éviter nos sentiments douloureux d’insignifiance, d’incompétence, de non-amabilité.
😱C’est ignorer nos peurs profondes comme être rejeté, humilié, ou ignoré.
La réalité déformée, c’est :
🤔interpréter à tort ce que les gens disent ou font
😡s’énerver sans raison
🫣percevoir les autres comme hostiles
Garder nos lunettes déformantes nous pousse à adopter des comportements « défensifs », tels que :
– Le DÉNI : « Pas de problème… », parce qu’admettre qu’il y a un problème, c’est admettre mon incapacité à le résoudre…
– Le MASOCHISME : « Je suis misérable… », pour éviter d’affronter nos propres inaptitudes.
– La VICTIMISATION : « Pauvre de moi ! », pour fuir notre sentiment d’incompétence.
– La CRITIQUE : « Vous vous trompez, je sais mieux que vous. », pour masquer nos propres doutes, insuffisances.
– Le SAUVETAGE : « je suis là », pour détourner notre attention de nos propres problèmes.
– La DEMANDE SANS LIMITE : « Encore, encore plus… », pour exiger des autres ce que l’on n’ose affronter soi-même.
Je suis executive coach, je définis en démarrage d’accompagnement avec mes clients un contrat de coaching (objectifs et indicateurs de résultat).
Dans 80% des cas, l’objectif est un changement de comportement : style de leadership, style de communication, interaction : prendre conscience des sous-jacents des comportements, identifier les peurs et sentiments qui s’expriment implicitement et ainsi avoir les moyens d’agir autrement, faire d’autre choix, gagner en puissance, en estime de vous, en aisance, en confort !
Le coaching, c’est un cadeau que vous pouvez vous offrir ou demander à votre entreprise de vous l’offrir parce que vous le valez bien 😉 pour transformer durablement votre vie et votre manière de voir le monde.
🎁 Prêt(e) à changer de lunettes ? Contactez-moi pour en MP.
Punchline de fin : « Everyone you meet is fighting a battle you know nothing about, be kind »
merci Catherine Barba Chiaramonti, qui m’a fait découvrir cette phrase la première !